VISION PARTAGÉE : YPREMA DE L’ÉCOLOGIE INDUSTRIELLE À L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE

Dans le numéro 1 Hors Série de Vision Partagée Facteur de croissance (Ouest Croissance), Claude Prigent réaffirme que les déchets des uns constituent les ressources des autres. La société Yprema se positionne comme leader dans le recyclage de matériaux de démolition en matériaux de construction pour les bâtiments publics. Bien avant l’heure, Yprema a inscrit l’économie circulaire et le développement durable au cœur de sa stratégie de croissance. Retrouvez l’article sur le site d’Yprema > Rubrique Revue de Presse

T&C Magazine : « Les granulats sont des produits pas des déchets »

Dans le numéro 132 de T&C Magazine, Claude Prigent Président d’Yprema, plaide pour faciliter la sortie des produits recyclés du BTP du statut de déchet à celui de produit. Une condition nécessaire au développement de la filière du recyclage sur l’Hexagone, définie par la transposition en 2010 en France de la directive déchet européenne de 2008. Retrouvez l’article complet sur le site d’Yprema > Rubrique Revue de Presse.

Nouveauté : Application mobile YPREMA

L’application mobile YPREMA est enfin disponible gratuitement sur l’AppStore d’APPLE (iTunes) et sur le GOOGLE Play.

L’application mobile Yprema  permet la géolocalisation des centrales de recyclage des matériaux de déconstruction gérés par YPREMA.

Les chauffeurs routiers en provenance de chantier de déconstruction avec des bennes remplies de gravats et de matériaux de déconstruction, sont souvent à la recherche de centrales de recyclage où décharger leur cargaison. La position de leur camion est alors géolocalisée sur une carte, et l’application cherche la centrale de recyclage la plus proche et leur indique le chemin le plus court pour y arriver. Il est possible de choisir un autre site dans une liste préétablie.

Sortir du statut de déchet

Depuis plus de 20 ans, la société YPREMA réceptionne les déconstructions du BTP et les transforme en matériaux à destination des chantiers routiers. Proches des centres urbains et des acteurs de la déconstruction du BTP, cette activité produit des matériaux routiers de qualité.

La directive européenne cadre Déchets de 2008 transposée en droit français par l’ordonnance du 17 décembre 2010 est le fondement d’une société Européenne du recyclage.

Elle définit les termes «déchet» et «recyclage», précise la hiérarchisation des modes de traitement, tout en rappelant l’objectif de 70 % de recyclage des déchets du BTP d’ici 2020 et précise les 4 critères pour l’obtention du statut de produit.

La nouvelle plaquette YPREMA, Sortir du statut de déchet, la reconnaissance d’une industrie vous permettra de découvrir :

– Le projet européen de 2008 autour du recyclage
– Le modèle économique YPREMA
– Les conditions de sortie du statut de  déchet
– Un exemple concret, avec le site YPREMA de Massy

Vous pouvez télécharger ce document depuis notre site institutionnel.

Cette vidéo explique également le processus pour sortir du statut de déchet :

La Franchise Industrelle

Sortie de la plaquette « Franchise Industrielle »

La Franchise Industrelle

YPREMA lance sa plaquette « Franchise Industrielle« .

Réceptionner les déchets, les transformer en produits et vendre ces produits est aujourd’hui un vrai schéma économique. Pour atteindre en 2020 l’objectif européen et français de recyclage des matériaux de déconstruction, il faut multiplier par 4 le nombre de plateformes de recyclage.

Ce document vous permettra de découvrir :

– Courquoi YPREMA propose cette solution de franchise
– Comment se met en place la franchise YPREMA
– Comment cette franchise permet la transition du statut de d’entreprise de traitement de déchets vers celui d’entreprise de recyclage.

Vous pouvez consulter ce document librement depuis notre site institutionnel.

Tri-Man

Déchets recyclables : une signalétique commune dès 2015

«Tri-man», «signalétique appropriée» conçue par l'Ademe, prévue par le projet de décret pour informer de la recyclabilité des produits © DR

Un projet de décret précisant les conditions de mise en œuvre, au 1er janvier 2015, d’une « signalétique commune » permettant aux consommateurs d’identifier les produits recyclables est soumis jusqu’au 6 décembre prochain à la consultation du public, sur le site du ministère de l’Écologie, mardi 20 novembre 2012. Cette signalétique, prévue par la loi Grenelle II à compter du 1er janvier 2012, consiste en un logo (cf. image ci-contre) devant permettre de faciliter le geste de tri des consommateurs. Elle va de pair avec une harmonisation des consignes de tri dans les collectivités françaises, déjà détaillée par un décret de mars dernier (AEF n°13096).

Voici les principales dispositions du projet de décret.

PRODUITS CONCERNÉS. Le projet de texte concerne « tous les metteurs sur le marché de produits recyclables soumis à un dispositif de responsabilité élargie du producteur qui relèvent d’une consigne de tri ».

Une première version du projet de décret, consultée par AEF Développement durable, prévoyait une mise en œuvre progressive du dispositif exemptant les PME, qui aurait pu être le préalable à la coexistence de plusieurs logos, moins lisibles pour le consommateur.

Cette disposition a disparu du projet de texte mis en ligne sur le site du ministère. Les déchets relevant de la filière des piles et accumulateurs usagés ainsi que de celle des DEEE (déchets d’équipements électriques et électroniques), qui font déjà l’objet d’une signalétique particulière, ne sont pas soumis à celle que prévoit le projet de décret.

LISIBILITÉ. La signalétique « est visible, lisible, compréhensible et indélébile. Elle n’est pas dissimulée, voilée ou séparée par d’autres indications ou images », selon le projet de texte.

Sa taille doit être « au moins aussi importante que celle des marquages indicatifs de la contribution financière des metteurs sur le marché aux dispositifs de responsabilité élargie du producteur qui sont apposés sur ces produits » – comme le Point vert pour les entreprises contribuant à Eco-Emballages.

« En l’absence de tels marquages sur le produit considéré, elle est au minimum de 1 cm par 1 cm ou de 1 cm carré si le marquage n’est pas carré. En cas d’impossibilité technique, en particulier du fait de la faible taille de l’emballage, la taille de cette signalétique pourra déroger à ces dimensions minimales, sans pouvoir toutefois être inférieures à 0,6 cm par 0,6 cm ou 0,36 cm carré si le marquage n’est pas carré. »

En cas de produit avec plusieurs emballages recyclables, le metteur sur le marché informe le consommateur par la signalétique « soit sur chacun des emballages recyclables, soit sur l’emballage avec lequel le consommateur est le plus en contact ». Dans ce dernier cas, il informe « le consommateur que les autres emballages recyclables ne portant pas la signalétique relèvent également d’une consigne de tri ».

DÉROGATIONS. En cas d’impossibilité de faire figurer ce logo sur un produit normalement concerné par le dispositif, « les organisations représentatives des metteurs sur le marché de ce type de produits [devront adresser] au ministère chargé de l’environnement un rapport justifiant de cette impossibilité ». Un arrêté fixera « la liste des types de produits » concernés par cette impossibilité. Une disposition similaire est prévue pour les emballages, la liste des emballages concernés devant elle aussi être précisée dans l’arrêté précédemment cité.

STOCKS. Les produits non conformes aux dispositions mentionnées par le projet de décret « sont commercialisables jusqu’à écoulement des stocks, à condition d’avoir été mis sur le marché avant le 31 décembre 2013 ».

SANCTIONS. En cas de non-respect de l’entrée en vigueur de la nouvelle signalétique à compter du 1er janvier 2015, le metteur sur le marché se voit aviser par le préfet « des faits qui lui sont reprochés et de la sanction qu’il encourt. L’intéressé est mis à même de présenter ses observations, écrites ou orales, dans le délai d’un mois, le cas échéant, assisté d’un conseil ou représenté par un mandataire de son choix ».

Le préfet « peut » alors, au terme de cette procédure, « prononcer une amende administrative dont le montant tient compte de la gravité des manquements constatés. Ce montant ne peut excéder 750 euros pour une personne physique et 3 750 euros pour une personne morale par tonne de produits mis sur le marché visés par le présent décret ou une somme forfaitaire maximale de 150 000 euros ».

Image : «Tri-man», «signalétique appropriée» conçue par l’Ademe, prévue par le projet de décret pour informer de la recyclabilité des produits © DR

Démolition : comment réhabiliter les déchets du bâtiment

Dans le supplément N°97 de Fondations.Démolitions.Carrières (FDC), un article de Nicolas Girault décrit comment YPREMA réhabilite les déchets de déconstruction en les transformant en matériau prêt à l’emploi malgré les contraintes réglementaires. La qualité des produits recyclés sont garantis et permettent à environ 150 000 tonnes de déchets de déconstruction d’être recyclés sur le site d’Ermerainville. Télécharger l’article.

Emerainville, de nuit.

Nos locaux d’Emerainville. L’idée mise en oeuvre avec l’aide de l’architecte Dominique Montassut est celle d’un site industriel organisé et paysagé autour de la plateforme de production, intégré harmonieusement à un paysage urbain. Lorsque la zone environnante est devenu moins industrielle et plus urbaine, les autres entreprises ont déménagé… Pas YPREMA !

Logo Yprema

Le Logo YPREMA depuis juin 2011, il a permis une première évolution de toute notre charte graphique vers plus de simplicité et plus de modernité, et ce n’est pas finit. La nouvelle charte s’est précisée et 2013 verra sa mise en place complète, mais on ne vous en dit pas plus pour l’instant. N’oubliez pas de consulter aussi notre site : www.yprema.fr