YPREMA, le miel, les abeilles
Le développement durable, ça ne consiste pas uniquement à être un acteur économique du recyclage. YPREMA met donc en place des bonnes pratiques industrielles, mais aussi des bonnes pratiques environnementales. C’est ainsi que des abeilles logent désormais sur plusieurs sites de production.
Claude Prigent, particulièrement attentif au développement durable, était interpellé depuis longtemps par la nécessité de protéger les abeilles, principal insecte butineur mais première victime collatérale des pesticides. C’est donc à son initiative qu’en 2011, trois premières ruches ont été installées sur le site de Pluguffan. Un choix d’autant plus logique que ce site avait été le lauréat 2009 du concours local « Maisons et jardins fleuris » catégorie entreprises !
L’expérience ayant été concluante –le miel des abeilles de Pluguffan est très bon !-, trois autres ruches ont été installées fin avril 2013 sur le site YPREMA MORONI de Reims et trois autres devraient venir s’implanter sous peu sur le site d’Emerainville.
Des partenariats sont également mis en place avec des apiculteurs locaux pour l’entretien et la surveillance de la bonne santé des ruchers.
Trois bonnes raisons d’installer des abeilles sur nos sites :
Les sites industriels d’YPREMA sont généralement pensés pour s’intégrer au mieux aux paysages semi-ruraux et péri-urbains dans lesquels ils sont implantés. Ils comprennent donc dès que possible une zone verte, plantée d’essences favorables aux insectes butineurs et, le cas échéant, méllifères. Pour autant les abeilles ne se limitent pas à cet espace, puisqu’elle couvrent un territoire d’un rayon de trois kilomètres autour des sites d’implantation.
La nature de notre activité et notre implantation fait qu’il n’y a pas de diffusion massive d’insecticide autour des sites YPREMA, contrairement aux zones agricoles. Les abeilles peuvent donc s’y épanouir en toute tranquillité.
Enfin, c’est une manière directe de souligner le côté éco-friendly des sites YPREMA, de sensibiliser le personnel aux problématiques de biodiversité et de mettre en pratique des actions simples de préservation des espèces animales et végétales.
Une quatrième bonne raison, moins officielle, est le plaisir supplémentaire qu’il y a goûter un très bon miel en se disant qu’on y est un peu pour quelque chose !
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